Vincent van Gogh (1853-1890)
Sternennacht (1889)
Sterne in der Nacht. Oder: Wer Hoffnung sucht, muss Hoffnung üben.
Kurz vor seinem Tod hat Vincent van Gogh «Sternennacht» gemalt. Wer das Bild gesehen hat, vergisst es nicht mehr. Es erzählt eine Geschichte über Angst und Hoffnung. Im neuen Wort zum Sonntag.
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3 Antworten
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Sylvain Bauhofer
Les lumières sont éteintes dans l’église du village. Cette peinture n’est vraiment pas au service du culte… Et pourtant, le bleu et le jaune éveillent des sentiments mystiques. Un poster de la Nuit étoilée m’a souvent réconforté, dans ma colocation d’étudiant déraciné aux États-Unis.
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Dr. Ingo Sonntag
Als Psychiater waren Menschen ohne Hoffnung meine Schutzbefohlenen. Es gibt aber kein Hoffnungs-Medikament. Was tun? Den Patienten erst einmal gründlich und liebevoll ärztlich-körperlich untersuchen. Und man glaubt es nicht: Sorgfalt und Menschlichkeit des Untersuchungs-Herganges kristallisierten sich für meine Schutzbefohlenen überraschend zu einem Felsen der Hoffnung, den sie festhalten konnten, um darauf einen Weg zur Heilung aufzubauen.
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Christophe De Reyff
Certes, nous avons plus que jamais besoin, sur Terre, de cette irremplaçable vertu d’espérance.
On sait aussi que, de ces trois vertus cardinales, dites “théologales”, la Foi, l’Espérance et la Charité, ne subsistera, après la Parousie, dans l’Au-delà de la Vision béatifique, plus que la seule Charité qui, comme vous l’avez bien souligné, est la plus “grande” des trois, qui durera éternellement ; les deux autres ne seront alors plus nécessaires puisque nous serons comblés.
Sur Terre, en effet, nous devons les “exercer”, elles ne peuvent jamais être acquises ici-bas une fois pour toute. Je dirais mieux, elles doivent “se cultiver”. De fait, ici bas, elles s’aident, se renforcent, s’épaulent mutuellement, car l’une ne peut pas exister, se réaliser concrètement, sans les autres.
Je rejoins la réflexion du Dr psychiatre qui s’exprime ci-dessus : chacun à notre façon, nous pouvons contribuer un peu à aider ceux qui sont désespérés, mais c’est en général assez difficile, car, souvent, cet état ne se voit pas aisément. On parle alors plutôt d’état dépressif dont les causes sont multiples, mais, sans doute, toujours lié à une désespérance de fond. Je fais mémoire, ici avec remord, d’un ami de lycée, croyant, aimable, bienveillant, dont je n’avais jamais remarqué ni supposé l’état de dépression, advenu au moment de sa retraite, et qui, un triste jour gris de février, s’est jeté sous un train. C’est alors qu’on se dit combien on a manqué à la charité en ayant été comme aveugle devant cette désespérance.
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